Vous les
ravageurs oisifs,
vous les
pillards des naïfs,
soi-disant
savants sans souci
dont un
seul mot blasé suffit
pour
m´avoir presque détruit
pas de
pardon, point d´oubli
je vais
attendre jusqu`à la nuit
pour
étancher la soif de mon esprit
en buvant de l´étang cramoisi
débordant de votre sang maudit.
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